Naissance et historique
Notre vision : Penser, dessiner et anticiper notre économie pour construire modestement mais concrètement.
Dans la vague d’innovation technologique et sociétale mondiale qui déferle depuis une dizaine d’années, il s’agit de penser et de dessiner l’économie qui advient, de l’anticiper et de se porter en pionnier à ses futures frontières.
Le Made in France et son soutien massif dans la population depuis la crise sanitaire du Covid-19, signifient la fin plus ou moins proche de la mondialisation, ce que traduit la montée des exigences de souveraineté économique, et qu’impose l’impératif écologique de sortie des énergies fossiles à horizon rapproché. Mais cette adhésion ne dit pas encore de quelle économie nouvelle cette mutation va bientôt accoucher. En pensant ainsi le futur et observant de façon documentée le présent, la transformation de l’économie en cours s’opère vers les transitions fondamentales que sont l’alimentation, l’énergie et la nouvelle industrie à fondement écologique. Le numérique et ses développements technologiques exponentiels est l’un des principaux vecteurs de transformation de la société, malgré, une sérieuse montée de la défiance dans le public : crainte de la cyber-domination des États ou des Gafa/Batx, inquiétude à l’égard du capitalisme de surveillance, démantèlement prévisible des abus de pouvoir économiques que réalisent ces monstres de domination de marché. Les transitions alimentaires, énergétiques, industrielles et technologiques ne font, quant à elles, que commencer.
C’est pourquoi Les Équipes du Made in France s’attellent à construire ses entreprises Made in France dans l’agriculture et l’industrie, secteurs injustement délaissés par le système financier.
Des entreprises pour imaginer la nouvelle agriculture et contribuer au retour de l’industrie sur le sol français
La mutation de l’agriculture sous l’effet de l’effondrement de la biodiversité et de la perte progressive et collective du capital-nature est déjà engagée : conversions massives à l’agriculture biologique, montée du protectionnisme alimentaire et sanitaire, progrès technologique et sociétal de la transparence (blockchain et labels des origines), naissances multiples de marques alimentaires équitables, alliances nouvelles entre consommateurs et producteurs et disruption probable de la grande distribution alimentaire physique.
S’agissant de la mutation énergétique, le projet mondial de décarbonation de l’économie va conduire les États outre les mesures inéluctables de taxation-compensation massives du carbone, à lancer des plans d’investissements géants dans la mobilité des personnes et des marchandises, dans les énergies alternatives ainsi que les économies d’énergie des bâtiments et de l’industrie.
Le foisonnement d’innovations technologiques actuel n’est pas encore tout à fait cristallisé autour des technologies dominantes qui guideront le marché de ce futur nouveau monde écologique et sobre que les peuples vont exiger de construire. Les rares certitudes indiquent que le stockage et les technologies des batteries sont devenues stratégiques, et que les alternatives aux fossiles que sont l’hydrogène, le nucléaire et la géothermie seront beaucoup plus dominantes que prévu.
Les startups industrielles et agricoles du Made in France sont le futur du renouveau industriel de la France.